Le décodage biologique des maladies

Qu'est-ce que la mal-a-dit ?

Un nouveau regard sur la maladie, nouvelle approche, nouvelle compréhension

La médecine et la chirurgie ont fait des progrès spectaculaires au cours du vingtième siècle. Mais il reste, ou il restait, des questions fondamentales en suspens :

• Pourquoi avons-nous telle ou telle maladie plutôt que telle autre ? Une otite ou une angine et pas une cystite ? Un infarctus et pas une néphrite ... ?

• Pourquoi y a-t-il des familles à cancer, à arthrose, à diabète, à eczéma... ?

• Ou encore, pourquoi est-ce que cette maladie m'arrive maintenant et pas plus tôt ou plus tard ? Et pourquoi à moi et pas à mon frère ? Et pourquoi à moi comme à mon père ou à ma mère, ou à ma grand-mère ?

A tous ces pourquoi, il est désormais possible de répondre.

Depuis une vingtaine d'années, des chercheurs, médecins, et cancérologues notamment, ont mis en évidence des lois qui régissent les maladies. Ils ont établi que les maladies obéissent aux lois biologiques des Règnes animal et végétal qui ont été mémorisées dans l'organisme humain.

La maladie doit être considérée comme la solution parfaite créée par le cerveau, avec les moyens de l'organisme, en tant que réponse à un stress, une problématique, qui dépasse les capacités d'adaptations psychologiques de la personne concernée.

Suivant la façon personnelle dont est vécu le stress, suivant le ressenti individuel particulier de celui qui subit l'événement déclenchant, la maladie se produit dans un tissu ou un organe qui est en correspondance exacte avec le ressenti.

Les stress sont somatisés et gérés de façon automatique et inconsciente par le cerveau au même titre que les fonctions vitales comme la digestion, la respiration, ou la circulation sanguine.

La somatisation dans un endroit restreint permet à l'organisme dans son ensemble de survivre. Il vaut mieux une maladie localisée qu'une atteinte générale, voire la mort.

La maladie est une adaptation de vie ou de survie, une solution de sauvegarde, en attendant des lendemains qui pourront être consacrés éventuellement à comprendre et résoudre le stress conflictuel causal, surtout dans le cas d'une maladie grave.

Mais pour cela le malade doit entreprendre une démarche personnelle de prise en charge active de lui-même. La mise en évidence du stress à l'origine de la maladie constitue une prise de conscience, une découverte, surprenante, inattendue, quelquefois bouleversante. Elle doit pas être imposée au malade qui ne "veut pas savoir". C'est lui qui doit décider de découvrir le pourquoi caché, codé, de sa maladie.

Et quand le stress d'origine est découvert et soigné directement, la maladie devient inutile. La guérison se produit alors, parfois de manière rapide et spectaculaire.

On parle de décodage biologique, de psycho-biologie, en ce qui concerne la mise à jour des correspondances entre les stress et les maladies, à partir d'un diagnostic médical précis.

On parle de psycho-généalogie pour ce qui est des correspondances trans-générationnelles des programmes de vie hérités des parents à la descendance, des loyautés familiales invisibles.

Et on appelle bio-psycho-généalogie l'ensemble des décodages des maladies et de leurs transmissions héréditaires qui programment également des existences entières.

Ces approches concernent TOUTES les maladies, les bénignes et les graves comme les cancers, ou celles dites génétiques et héréditaires comme les myopathies et les luxations congénitales des hanches, par exemple. Elles concernent également un grand nombre d'accidents qui se produisent en écho à des accidents survenus dans des conditions similaires, à des âges identiques, à des parents. En effet, les problématiques non résolues d'une génération se transmettent à la descendance comme une programmation informatique télé-chargée, directement active, ou susceptible d'être réactivée.

Biologie, médecine, psychologie, et généalogie, se complètent les unes les autres. Cette complémentarité permet une prise en compte de l'homme dans sa globalité historique, et une compréhension d'ensemble des maladies et des accidents. Les affections des organes et des tissus, sont à soigner. Mais les affections se produisent au sein d'un organisme, d'une entité qu'est le malade. Celui-ci peut, s'il le veut, accéder à une indépendance, à une liberté, par rapport à ses programmations. Au lieu de rester un objet, personnage soumis aux influences du passé et du présent qui le dépassent souvent, il peut devenir, par une démarche personnelle, un sujet actif, véritablement acteur-auteur responsable de son existence.

Car, en plus du rôle de sauvegarde, la maladie joue un rôle de maturation. A partir de la souffrance qu'elle manifeste et du questionnement qu'elle suscite, la maladie invite le malade à évoluer.